[Quête] Un Transport pour Féérune - Partie 1

Invité

Le groupe avait trouvé un emplacement idéal en lisière de la jungle, non loin de la mer, et ils avaient commencé à s'y installer. Sous prétexte d'aller chercher du bois pour le feu, si toutefois feu il y aurait, Mortën s'était isolé du reste du groupe. Il marcha une bonne dizaine de minute dans la forêt qui devenait de plus en plus dense, de plus en plus sombre, de plus en inquiétante. Un clapotement attira son attention. Curieux, le prêtre s'orienta vers la provenance de ce son appaisant. Une trentaine de mètres plus loin, il écarta une branche touffue d'un geste vif de la main, s'attendant à tout : un petit ruisseau coulait là, l'eau qui tombait sur les pierres faisant un petit bruit reposant, agréable à écouter.

Le cours était bien maigre et profond d'à peine quelques centimètres ; sans doutes allait-il se jeter dans la mer, plus loin. Mortën s'agenouilla dans le liquide frais, ce qui lui fit le plus grand bien. Savourant la caresse de l'eau sur son corps, il s'y allongea bientôt totalement. Sur le dos, ses yeux mi-clos se fermèrent. Qu'il était bon d'être ici... Cet endroit si calme, si appaisant... Il récita quelques prières dans la Langue religieuse de Loviatar. Il sombra peu à peu dans un monde si reposant... le sommeil ? Difficile à dire.

Mais il se résigna à se relever, malgré l'intense sensation de bien. Il faisait déjà plus sombre, et il fut difficile de partir de cet endroit charmeur. Combien de temps avait passé depuis qu'il s'était allongé ? S'était-il assoupi ? Le groupe allait-il s'inquiéter ? Il fallait qu'il rentre rapidement au campement, non sans ramasser quelques branches au passage... Encore fallait-il qu'il retrouve son chemin. Ce séjour dans l'eau l'avait comme abruti.

Raistlin avait défait ses affaire pendant que Mortën était aller chercher du bois pour le feu. Il le vit s'enfoncer dans la forêt, et pensa aux sons qui en émergeaient, il valait mieux que Mortën soit prudent. Raistlin se tourna vers Zarakaï qui tentait toujours de réveiller Borim. Il le regarda faire pendant cinq minutes mais cela le lassa assez rapidement, d'autant plus que le nain avait finalement trainé Borim jusqu'au campement et qu'il avait décrété que les compagnons devaient manger. Aussi il décida d'étudier tant bien que mal ses sorts, à cause du peu de lumière qui restait. Après une demi heure, Raistlin commença à se demander ce que faisait Mortën, la nuit était maintenant totale, mais il se dit que le Prêtre saurait surement se débrouiller, il avait l'air habile. Le mage se contenta de manger une petit peu de ses rations, il n'avait pas tellement faim.

Raistlin sorti sa couverture, et demanda à Zarakaï :

- Maitre nain, je suis très fatigué, voudriez vous, s'il vous plait prendre en charge le premier tour de garde ? Les bruits qui viennent de la forêt ne sont pas rassurants, il vaut mieux que quelqu'un monte la garde.

Après avoir achevé sa phrase le mage s'enroula dans sa couverture et s'étendit sur le sol, puis il regarda les étoiles en attendant que le sommeil ne vienne l'emporter.

Invité

Zarakaï commencer à se demander ce que Môrten faisait même si il connaissait ses habitudes étranges, il craignait non pas par complaisance mais plutôt par intérêt que Morten se fasse attaquer par une quelconque bête qui aurait put servir de dîner à l'équipe. C'est à ce moment là que Raistlin lui demanda de faire la garde, il répondit :

- Pourquoi pas ,je me servirai de Borim comme porte-torche et attendrai le retour de Morten ou l'arrivée d'une quelconque bête à occire !

C'est ce qu'il fit pendant que Raistlin commencer à ronfler , il sortit une torche de son sac, frotta la pierre de son briquet et alluma la torche, il prit la main de Borim et il mit la torche dans celle-ci de manière à ce qu'elle se referme dessus et tienne la torche !!!
Après cela il s'assit sur le sable et prit de la nourriture naine dans son sac ainsi que la bière qui l'accompagne .
Bizarrement le festin de Zarakaï ne plut pas à tout le monde ...

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Première attribution d'expérience

Quantité de post RP
Dfus 3 * 3 = 9 XP
Zarakaï 4 * 3 = 12 XP
Borim Stelgrit 1 * 3 = 3 XP
Raistlin 8 * 3 = 24 XP
Mortën 8 * 3 = 24 XP

Qualité des post RP
Dfus : 5 XP
Zarakaï : 24 XP
Borim Stelgrit : 7 XP
Raistlin : 31 XP
Mortën : 34 XP

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Pour les aventuriers, la mer assombrie était synonyme de plénitude et d'harmonie avec le reste de leur environnement, la Lune baignant l'archipel dont ils ignoraient encore tout. Les sons mystérieux avaient cessé et la nuit allait probablement être tout aussi calme. Le repas avait été très court étant donné que la moitié des compagnons étaient dans une position d'indisponibilité. En effet, ce n'est qu'au bout de trois heures que le Prêtre Mortën réapparût, exténué physiquement mais revitalisé. Nul ne sait ce qu'il a bien pu faire dans la jungle, seul, mais le résultat étant qu'il n'avait apporté le moindre morceau de bois. Quoi qu'il en soit, un feu n'était pas envisagé, ni envisageable d'ailleurs. Cependant, l'Humain n'eut aucun mal à retrouver la direction du camp malgré la lueur émise par la torche tenue efficacement par le Nain endormi. Zarakaï quant à lui était en train de festoyer en solitaire sur la sable, ne se privant pas d'exprimer ses émotions au sujet de son estomac, comme le fait tout Nain qui se respecte. Raitlin dormait si profondément qu'il ne fut pas réveillé par cette surprise party. Le retour de Mortën se déroula parfaitement bien, Zarakaï ne posant pas de questions, préférant finir son repas et effectuer son tour de garde le plus rapidement possible en "compagnie" de Borim.

[Après un jet de dé raté dans la table des rencontres nocturnes en milieu hostile, la nuit prit fin dans l'ennui le plus total.]

Zarakaï n'avait pas bougé de son poste de garde et s'était endormi contre son confrère, laissant sa hache entre ses mains durant toute la nuit. Personne ne s'était réveillé pour prendre le second tour mais cela n'avait aucune importance car le soleil commençait à se lever. Le paysage n'avait différé de la veille: la jungle mystérieuse jointe à la mer propageant ses vagues avec une régularité lassante mais apaisante. Par le plus grand des hasards, le groupe d'aventuriers fut tiré du sommeil par l'intervention d'un individu encore méconnu. Celui-ci avait tout d'un noble habitant de Féérune, une tenue assez remarquable mais parfaite pour voyager. Sa venue dans cette région était probablement due au Destin, peut être dicté par sa Divinité...

Voila un mois que Evart errait dans les sombres tunnels des profondeurs, maintes fois il dut affronter des créatures infernales, tel les gobelins ou des kobolds. Il commençait à perdre espoir de revoir un jour la lumière du Soleil, cette pensée lui fit grand mal et s’assit pour se reposer quelques minutes, mais très vite il sentit une douce brise lui caressait le visage, espérant que celle-ci le mena à quelques ouvertures sur la surface, il se leva et commença à marcher face au vent. Rapidement, il vit quelques beaux rayons orangés frappant les parois du tunnel, alors il repensa à ce qu’il l’avait amené ici.

Il se rappela de son voyage dans les Vaux où un Ordre de Chevaliers était venu lui demander de l’aide, en raison de la noblesse du dit ordre et de ses croyances religieuses, il accepta avec grand enthousiasme et fut l’une des personnes les plus heureuses de partir, il fut aussi l’une des plus déçues. En effet, rapidement nos aventuriers s’aperçurent que les Pierres Magiques qu’ils cherchaient n’étaient que chimère, c’était en fait qu’une invention d’un Mage Noir qui sauta sur l’occasion pour exterminer l’Ordre guère puissant. Tous déçus, pour diverses raisons, nos aventuriers se partirent chacun de leur coté. Trois d’entre eux restèrent ensemble un moment, Evart, Jin et le nain Thranhir mais alors qu’ils croisaient dans la région du Cormyr, il reçut un message de l’un des hérauts seigneuriaux spécifiant qu’il devait partir immédiatement pour sa ville natale, alors il en parla au moine qui lui souhaita bon courage.

Alors, il partit rapidement jusqu’au château de son père, qui par de longues périphrases lui dit que sa mère était gravement malade se précipitant à son chevet, il rencontra l’un des plus grands guérisseurs de Suzail, la capitale du Cormyr, qui lui expliqua qu’il ne pouvait rien faire pour lui, au mieux, il pourrait la tenir en vie pendant une petite année, mais quelle vie, elle devrait rester au lit et manger frugalement, enfin bref elle ne ferait pas grand-chose. De part ses croyances, il partit rapidement à Suzail pour prier dans l’une des plus grandes églises de Féerune dédiée à Tyr, le Dieu de la Justice, après deux à trois semaines de constantes dévotions, il eut une vision. Il vit des tunnels interminables qui le menaient sur une plage bordée d’une jungle luxuriante et là il voyait quatre personnes en train de dormir. Il comprit, si il voulait sauver sa mère, il devait partir là-bas, il ne savait pas ce qu’il devait y trouver mais dans tout les cas, il devait y aller. Retournant à toute vitesse chez lui, il fit ses adieux à son père et à sa mère et partit vers l’entrée du tunnel qu’il avait vu.

Malgré sa bonne mémoire et la crainte que sa mère ne meure, Evart se perdit moult fois dans le dédale des souterrains de Féerune, affrontant mille gobelins et autres créatures toutes plus immondes les unes que les autres, après un mois d’errance et de frugalité, il vit enfin les rayons du Soleil. C’était précisément la vision que lui avait donné Tyr, son Dieu tout-puissant, une grande plage séparée la mer de la jungle luxuriante et grandiose. Au bout, il vit un groupe de personnes étendu sur le sable, il devait dormir, il faisait encore tôt ou tard, il ne savait où était l’Est, de l’Ouest, du Nord, en tout cas, le Soleil était très bas. Alors il approcha du petit groupe, tous dormaient sans exception, cela semblait étonnant qu’ils n’aient pas organisé de tours de garde, enfin, alors il marcha au milieu du groupe et sans faire exprès, donna un grand coup dans une hache qui était enfouit dans le sable, celle-ci partant ricocher sur une personne en robe qui semblait très fébrile et excessivement pale, fort heureusement Evart constata qu’il ne l’avait pas blessé, juste réveillé alors il dit :

- Veuillez m’excuser, mais en sortant du tunnel au bout de la plage j’ai vu vôtre groupe et je me suis approché. Cependant, j’ai trébuché sur une hache négligemment laissée à terre. Vous réveillant par la même occasion. Mais je ne me suis pas présenté : Evart de Padraig.

La nuit avait passé, le plus tranquillement possible, Raistlin avait dormi d’un sommeil profond et régénérateur. Le mage n’allait pas tarder à se réveiller, quand soudain il senti, une petite douleur dans son dos, quelque chose lui était visiblement tombé dessus.

Le mage se réveilla avec une vivacité peu commune, se leva puis aperçut l’objet de sa douleur : la hache de Zarakaï. Cependant il constata qu’il n’était pas seul, en effet un jeune homme se tenait devant lui. Raistlin l’examina brièvement. Il était grand, avait une allure altière, quelque chose de hiératique dans son port, un détail attira l’attention de Raistlin, le jeune homme avait les yeux complètement noir. Il portait un pourpoint matelassé fort bien coupé, dont la couleur oscillait entre le bordeaux et le marron, ainsi qu’une longue cape noire, tout dans sa personne indiquait une noble extraction. Ce qui fut confirmé quand Raistlin aperçut à son doigt, un anneau avec des armoiries. Enfin, le jeune homme semblait avoir été formé aux arts du combat. Il possédait en effet une épée longue dans un fourreau à sa ceinture, et un écu qu’il tenait à son bras.

Constatant que Raistlin allait bien, l’homme lui dit en commun :

- Veuillez m’excuser, mais en sortant du tunnel au bout de la plage j’ai vu vôtre groupe et je me suis approcher. Cependant, j’ai trébuché sur une hache négligemment laissé à terre. Vous réveillant par la même occasion. Mais je ne me suis pas présenté : Evart de Padraig.

L’emploi de la particule, acheva de prouver la noblesse de cet homme. Raistlin lui répondit doucement :

- Vous êtes tout excusé monsieur, ces choses là arrivent. Je suis Raistlin Majère, mage de mon état, et voici le reste du groupe auquel j’appartiens, dit-il en désignant les autres qui dormait encore. Mais avant tout pourrai-je savoir ce qui vous a mené en ces lieux ?

Invité

L'arrivée de Evart de Padraing plaça Zarakaï dans un état de somnolence mais les bruits provenant des discussions finir de le réveiller. Il ouvrit alors progressivement les yeux il vit tout d'abord Borim en face de lui avec la torche dans les mains comme lorsque Zarakaï s'était assoupit, à cette différence prés qu'elle était à présent entièrement consumer . C'est ce qui fit penser à Zarakaï que le jour était levé puisque, il voyait clair. Il tourna donc la tête en direction de l'endroit où il avait vu Raistlin s'assoupir, à cet endroit il découvrit 4 jambes n'étant pas du tout réveillé il cru que Morten était enfin rentré. Il déclara toujours en regardant les 2 paires de jambes :

Ah Morten nous commencions à nous demander ce que tu faisais ... à ce moment là il releva la tête et bien qu'étant dans un état de nain tout juste réveillé à ne surtout pas brusquer il vit que la deuxième paire de jambes n'appartenait pas à Morten donc il en déduisit que c'était un inconnu !( Zarakaï est très fort en logique )

Il voulu donc saisir par reflex sa hache mais il ne la trouva pas ...
Il rentra de ce fait dans une fureur folle : il sauta sur ses deux jambes tournoya sur lui même pour essayer d'apercevoir sa hache, il s'écria :

Où est ma hache ?

Alors que le dénommé Raistlin se levait pour répondre à sa phrase d'excuse et de présentation, Evart l'examina rapidement, il parassait étrange avec sa peau doré tout comme ses yeux et ses longs cheveux blancs, il avait une longue robe rouge, il devait être un magicien, en tout cas, pas un guerrier car il était frêle et un homme d'armes n'aurait pas mis de robe. Enfin, alors qu'il allait continuer, il vit l'un des nains sauter et hurler :

- Où est ma hâche ?

Il devait sûrement avoir réveillé, toute la jungle et les villages alentour par son hurlement immonde et rustre, enfin cela ne changait pas par rapport aux autres nains car ils étaient tous, ou presque, aussi peu poli et terriblement braillard Evart se retourna et lui lança un regard hautain tout en disant froidement :

- Si vous aviez été plus rangé, elle serait sûrement près de vous. Néanmoins, vous ne l'avez pas été, elle est donc à un mètre à vôtre gauche.

Invité

Zarakaï toujours dans sa furie destructrice entendit un homme stupide lui dire :
- Si vous aviez été plus rangé, elle serait sûrement près de vous. Néanmoins, vous ne l'avez pas été, elle est donc à un mètre à vôtre gauche.

Cette réplique ne plut pas du tout mais alors pas du tout au nain !!
Bien que démunis de sa hache à double tranchant il lui restait sa hache de jet il empoigna celle-ci avec une férocité caractéristique d'un nain, il commença à amorcer le geste de jet de la hache en disant :
Qui est tu pour faire des reproches à un nain ? Vieille vermine propre !! d'une voix presque assez forte pour réveiller un Zombie comme Borim ! (presque)

Mais ...

Face à la pique d’Evart, le nain répondit par une insulte et énervement, tout en criant si fort que toute la forêt aurait pu être réveillée. Cela n'étonnait guère Evart, les nains étaient tellement primitifs, incultes et primaires qu'ils en étaient presque écœurant, du moins pour le moment il n'avait pas rencontré de nain franchement intelligent, mais peut-être cela allait venir, du moins il l'espérait. Enfin, cela n'importait que peu à l'heure actuelle, puisque le nain venait de sortir une hache de jet, alors qu'il disait :

- Qui est tu pour faire des reproches à un nain ? Vieille vermine propre !!

- Quelqu'un plus intelligent que vous apparemment. Mais cela n'importe que peu dans la situation actuelle, je n'ai pas envie de me battre surtout pas avec un nain dont l'espèce est connu par sa férocité et sa dextérité dans le maniement des armes. Enfin bref.

Alors il regarda le nain, la deuxième partie de la phrase semblait avoir guéri sa vanité blessée par la première, comme l'avait prévu Evart. Alors il se retourna, faisant dos au nain, c'était loin d'être une marque de confiance ou de suffisance, mais plus une marque d'apaisement et d'un certain courage, tourner le dos à un nain furieux et armé n'était pas la chose la plus conseillée, alors il continua en évitant de répondre à la question de Raistlin :

- Mais vous, que faites-vous si loin de Féerune ? A ce que j'en vois vous semblez venir de ce vénérable continent.

Tout se passa très vite, Evart de Padraig avait répondu, d’une voix froide et cinglante au nain que si il était plus ordonné il n’aurait pas à chercher sa hache. Ce qui acheva de mettre le feu aux poudres, et qui transporta encore plus Zarakaï dans sa rage, le nain explosa, saisit sa hache de jet et répondit d’une voix tonitruante :

- Qui est tu pour faire des reproches à un nain ? Vieille vermine propre !!

C’est alors qu’Evart de Padraig lui rétorqua :

- Quelqu'un plus intelligent que vous apparemment. Mais cela n'importe que peu dans la situation actuelle, je n'ai pas envie de me battre, surtout pas avec un nain dont l'espèce est connu pour sa férocité et sa dextérité dans le maniement des armes. Enfin bref.

Raistlin, en ayant plus qu’assez de l’attitude du nain ajouta :

- Maitre nain, calmez vos ardeurs je vous prie ! Si vous devez sauter à la gorge du premier venu, votre place parmi nous est plus que discutable, car en agissant ainsi c’est au fond d’une geôle sombre et humide que nous finirons nos jours et non chez nous à Féérune ! De plus comme vous l’a dit ce jeune homme, il ne cherche pas à vous affronter.

Raistlin regarda fixement le nain de ses yeux dorés, puis se retourna quand Evart lui demanda :

- Mais vous, que faites-vous si loin de Féérune ? A ce que j'en vois vous semblez venir de ce vénérable continent.

- Oui effectivement nous sommes de Féérune, personnellement je viens d’Amn. C’est à cause d’une quête, préalablement remplie, et qui consistait à éradiquer des repaires d’Orques et de Gobelins, que nous sommes ici. Seulement par malchance, après avoir fini nous fûmes dans l’incapacité de retrouver notre chemin vers la surface, de ce fait nous avons erré dans les tunnels pendant plusieurs jours. Jusqu’au moment où nous sommes arrivés en ces lieux. Et vous-même que faites vous ici ?

Invité

Mortën, plus qu'épuisé des péripéties des derniers jours, avait dormi d'un sommeil de plomb. Aux aurores, celui ci fut sévèrement ébranlé par une série de cris. Ces plaintes lui parurent d'abord très lointaines, puis au fur et à mesure qu'elles le tiraient de son sommeil, elles se furent plus présentes ; jusqu'à ce qu'il entende distinctement chaque syllabe...

A son plus grand regret, il se résigna à quitter cette phase reposante. Les cris du nain (sa voix était reconaissable) l'avaient alarmé, et le prêtre se mit assis en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. La rapidité du geste lui arracha un étourdissement, et il se sentit basculer, sans que rien ne se produise pourtant. Mortën observa la scène : Zarakaï et Raistlin étaient là ; un autre homme inconnu lui tournait le dos. Une joute verbale venait de s'organiser. Assis sur sa couchette, Mortën était légèrement en retrait du reste du groupe ; si cette matinée en bord de mer avait été un tableau, il aurait constitué le dernier plan.

Toujours dans un soucis de discrétion, préférant prendre pleinement connaissance de la situation, il écouta et observa sans se manifester. La discussion allait lui apporter des précisions quant à l'homme inconnu... De plus, personne ne semblait l'avoir vu, et Mortën ne bougerait pas tant que quelqu'un ne l'aurait pas remarqué.

Invité

Zarakaï écouta à son insu toutes les paroles prononcés par Raisltin et l'inconnu : il se rendit compte qu'il n'était pas en position de force et essaya tant bien que mal de se calmer et il dit à l'intention de l'inconnu :

- Certes vous affirmer que vous ne voulez vous pas battre contre moi car vous reconnaissait la supériorité de ceux de mon espèce dans l'art du combat Mais vous faites tout pour me provoquer, sachez cher je sais pas qui, qui vient nous faire chier qu'il n'est pas dans l'habitude des nains de courber l'échine lorsqu'il n'y va pas de l'un de nos intérêt : ainsi dans le cas où vous faites des reproches à un nain il ne vous répondra jamais : Mais bien sûr vous avez raison, merci de me l'avoir dit !!

Ceux-ci étant dit Zarakaï rangea sa hache de jet et se dirigea vers l'endroit où hache à double tranchant avez atterri.

Il ajouta d'un ton calme :
- Sachez par ailleurs Cher Inconnu qui est peut-être venu nous aider que l'intelligence des nains est toute relative aux créatures qu'ils côtoient ! Car dans nos mines somptueuses il n'y a que de vulgaires gobelins et orques avec qui nous prenons pas le temps de discuter, nous les attaquons parfois avant même qu'ils nous ai vu, vous comprendrez alors peut-être ou pas l'origine du reflex qui m'a fait passer pour une brute sanguinaire.

- Peut-être que maintenant que les choses sont au clair vous allez nous annoncer le but de votre venue ?

Le nain n'avait pas tort, combattre si souvent de si abjectes créatures n'était pas la meilleure chose pour rendre aimable. Enfin bref, la tension était apaisée et Evart espérait que cela allait durer. Alors, Evart regarda rapidement les personnes rassemblaient outre le dénommé Raistlin et le nain dont il ignorait le nom, il y avait un humain ou un elfe assis sur sa couchette et habillé d'une longue robe de prêtre et un nain qui semblait dormir, était-il mort ? Il fut sorti de ses réflexions par le nain qui appuya la demande de Raistlin en disant :

- Peut-être que maintenant que les choses sont au clair vous allez nous annoncer le but de votre venue ?

- Déjà pour commencer, je vais vous donner mon nom : Evart de Padraig. Sinon pour répondre à vos questions, je me suis lancé dans une aventure pour venir après une vision qui suivit une multitude de péripéties diverses. Mais si je connais le nom de Raistlin, je connais pas le vôtre maitre nain, ni le vôtre.dit-il en regardant le prêtre assis sur sa couchette. Si vous pouviez avoir la politesse de vous présenter.

Invité

Zarakaï était redevenu comme il est habituellement,il venait de ramasser de mettre à sa ceinture sa hache.
l'inconnu répondit à toute l'équipe en partie à leurs questions :

- Déjà pour commencer, je vais vous donner mon nom : Evart de Padraig. Sinon pour répondre à vos questions, je me suis lancé dans une aventure pour venir après une vision qui suivit une multitude de péripéties diverses. Mais si je connais le nom de Raistlin, je connais pas le vôtre maitre nain, ni le vôtre. dit-il en regardant le prêtre assis sur sa couchette. Si vous pouviez avoir la politesse de vous présenter.

Certes, un nain peut avoir la politesse de se présenter mais quand son interlocuteur s'est présenté avant car sinon il risque sa peau. Bref je vais vous présenté notre équipé car ils ne daigneront pas tous vous répondre il regarda Borim devant moi voici Borim il est dans un état semi-conscient depuis ... euh très longtemps ! Continuons voici Mortën assis sur sa couchette, je n'ai pas eu le loisir de converser avec lui depuis son retour de son aventures dans les contrés sauvage de ...la fôret derrière nous, Il était censé rapporter du bois mais bon ... Après ce mage a peut-être accepté de dévoiler son nom qui est Raistlin, et pour finir moi même par politesse tout d'abords et aussi car on garde le meilleure pour la fin , il dit cette dernière partie de phrase avec fierté mais sans arrogance aucune pour une fois Je suis Zarakaï, Maitre Nain comme vous l'avez justement remarqué et je suis niveau ... euh ben 1 encore !

Il ajouta curieux :
Vous avez parlé de visions mais quelles peuvent elles être pour vous avoir conduits ici ?

Le nain nommé Zarakaï était très curieux, un peu trop même, Evart n'était pas du genre à se confier surtout avec des étrangers, nains qui plus est. Alors pour le pas enflammer encore plus l'ambiance entre le nain et lui-même, l'homme du Cormyr dit poliment :

- Maitre Zarakaï, je doute que ce soit le moment et le lieu adéquat pour cela. D'autant que vous n'avez pas à savoir ce qui me regarde. Ce qui ne m'empêche pas d'être amical et en aucun cas animé de mauvaises intentions. Mis à part cela je me permet de vous demander où vous comptez aller après cette escapade sur cette qui plage qui certes est agréable mais guère intéressante.

Invité

Le dénommé Evart lui répondit :
- Maitre Zarakaï, je doute que ce soit le moment et le lieu adéquat pour cela. D'autant que vous n'avez pas à savoir ce qui me regarde. Ce qui ne m'empêche pas d'être amical et en aucun cas animé de mauvaises intentions. Mis à part cela je me permet de vous demander où vous comptez aller après cette escapade sur cette qui plage qui certes est agréable mais guère intéressante.

Zarakaï répondit :

- Votre question est très pertinent mais je doute que ma réponse puisse vous éclairer car nous se savons nous même pas vraiment là où nous allons nous avons dresser notre bivouac ici car cet endroit ne nous paraissait pas hostile. Mais peut-être êtes vous là pour nous guider ?

La réflexion de Zarakaï n'était pas idiote, si Evart avait eut des visions le guidant ici, il aurait très bien pu en avoir pour le guider plus loin, mais hélas ce n'était pas le cas, Tyr n'avait pas jugé bon de le guider plus, ainsi il pourrait lui-même prouver ce qu'il valait sans être trop guidé. Durant quelques instants, il se perdit dans ses réflexions, jusqu'au moment où le nain lui fit un regard insistant, alors il réalisa qu'il s'était perdu dans ses pensées et répondit brièvement :

- Hélas non, je n'ai aucune idée du lieu où ne devrions aller, ni-même du chemin qu'il nous faudrait prendre. Mais peut-être auriez-vous une idée ? Zarakaï ou Raistlin ?

Invité

Evart lui répondit :

- Hélas non, je n'ai aucune idée du lieu où ne devrions aller, ni-même du chemin qu'il nous faudrait prendre. Mais peut-être auriez-vous une idée ? Zarakaï ou Raistlin ?

Très peu pour ma part, je n'ai aucune idée mais nous pourrions en discuter n'est ce pas Mörten et Raistlin. Au fait avons nous une carte ?

La conversation avait tourné à l’exclusivité entre Zarakaï et Evart de Padraig, Raistlin n’en avait pas perdu le fil pour autant, il n’intervint que lorsque Evart de Padraig, suivit de Zarakaï lui demandèrent :

- Hélas non, je n'ai aucune idée du lieu où ne devrions aller, ni-même du chemin qu'il nous faudrait prendre. Mais peut-être auriez-vous une idée ? Zarakaï ou Raistlin ?

- Très peu pour ma part, je n'ai aucune idée mais nous pourrions en discuter n'est ce pas Mörten et Raistlin. Au fait avons nous une carte ?

- Je crains que non Zarakaï, mis à part si Mortën en possède une, dit le mage en se tournant légèrement vers Mortën, je suis au regret de vous annoncer que nous allons devoir voyager sans carte… De plus, il me semblerait raisonnable de nous rendre dans cette cité Elfe, comme le garde nous y a invité hier. Même si je mesure l’hardiesse de l’effort qu’il vous en coûtera… afin de garder votre calme parmi ces Elfes… Maître nain. Et je vous en remercie par avance. En outre, en plus d’y trouver des informations sur les ces terres, nous y trouverons sûrement une carte. Qu’en dites-vous ?

A ce moment Raistlin se tourna vers le nouvel arrivant, et dit :

- Enfin, à l’évidence votre présence devant nous, me donne à penser que vous voudriez voyager à nos côtés n’est ce pas ? Pour ma part je n’y vois aucun inconvénients, nous avons eu quelques… désertions en ce moment. Ajouta-t-il de manière méprisante, en faisant clairement allusion à Dfus.

Invité

Raistlin leur répondit cela :
- Je crains que non Zarakaï, mis à part si Mortën en possède une, je
suis au regret de vous annoncer que nous allons devoir voyager sans
carte… De plus, il me semblerait raisonnable de nous rendre dans cette
cité Elfe, comme le garde nous y a invité hier. Même si je mesure
l’hardiesse de l’effort qu’il vous en coûtera… afin de garder votre
calme parmi ces Elfes… Maître nain. Et je vous en remercie par avance.
En outre, en plus d’y trouver des informations sur les ces terres, nous
y trouverons sûrement une carte. Qu’en dites-vous ?

Il ajouta à l'intention de Evart:

-
Enfin, à l’évidence votre présence devant nous, me donne à penser que vous voudriez voyager à nos côtés n’est ce pas ? Pour ma part je n’y vois aucun inconvénients, nous avons eu quelques… désertions en ce moment

Zarakaï continua la discusion :

- Nous avons effectivement du abandonner un de nos compagnons de route qui jouait au super héros ... il dit cette première phrase sur un ton de méprise qui aurait fait pleurer un elfe si il avait était question de celui-ci Il est fort dommage que nous devions nous guider sans carte et bien que de me diriger vers un endroit qui regorge d'elfe me fassent frémir d'inquiétudes pour nous tous car je ne sais si j'arriverai à me contrôler.. mais j'accepte de relever cet épreuve pour prouver le courage et la vaillance des nains dans les situations les plus périlleuses il dit cette phrases sur un ton fier comme savent le faire tous les nains mais dénudé d'arrogance, Zarakaï essayait de se préparer à l'épreuve que serait de ne pas pouvoir vanner les elfes à tout bout de champs ...

Zarakaï reprit :
- Je suis favorable à l'entrée de Evart dans notre groupe car je ne pense pas qu'il serait venu ainsi à nous si ses visions avaient été animés par de mauvais sentiment ... Quoique .. je resterait quand même méfiant ...

Il conclu ses pensées en disant à l'intention de Mörten :

- Môrten qu'en pense tu ? Dis n'a dit mot depuis ton retour ta place est presque aussi importante que la notre dans le groupe!

Invité

Il était vrai que Mortën n'avait dis mot depuis son réveil ; depuis son retour la veille d'ailleurs. Il s'était contenté d'écouter la discussion, se faisait le plus discret possible ; son côté solitaire et silencieux ressortait. Lorsque l'étranger s'était directement adressé à lui, il lui avait fait un signe de tête en guise de politesse, mais ne lui avait pas répondu pour autant... Zarakaï l'avait fait pour lui. Pour être franc, le prêtre se méfiait de lui : il avait horreur du changement.

Raistlin lui posa alors une question indirecte à propos d'une carte, et une fois de plus, Mortën se contenta d'un signe de tête porteur de négation. Il prit alors part au débat qui venait de s'animer, en veillant à parler le moins possible, comme à chaque fois :

- Je suis d'avis de rejoindre la cité des Elfes, comme le pense également Raistlin.

Invité

Mortën ayant répondu positivement à la question par une phrase très brève, Zarakaï comprit que celui-ci n'avait guère envie de parler comme d'habitude d'ailleurs ...

Zarakaï déclara :
Puisque tous le monde est d'accords allons y, hâtons nous de ranger nos affaires et partons de suite car je n'ai pas envie de bivouaquer dans cette forêt sombre... à moins de la faire cramer évidemment il dit cela avec un sourire fier et défiant . Il se peut qu'il y ai un autre chemin que cette étrange forêt, il me semble que vous en aviez brièvement parler mais je ne devais par être tout-a-fait redevenu moi même ou alors j'étais en train d'essayer de réveiller Borim, D'ailleurs qu'allons nous faire de ce Zombie, je n'ai pas envie de le traîner tout le long de la route !?!?

Et vous voyageur dont nous ne savons que trop peu de choses, qu'allez vous faire à présent ?
Auriez vous songez à nous accompagner ?

Evart avait bien suivit la conversation, le prêtre semblait très distant, ce qui n'était pas pour lui déplaire, depuis qu'il était arrivé il avait entendu une seule fois le son de sa voix, à l'instant même. Le mage, Raistlin, semblait lui assez terre-à-terre au contraire de certains autres qui préféraient chercher quelques chimères, de plus il n'était pas franchement antipathique, même si ce n'était pas celui qui parlait le plus ... au contraire de Zarakaï qui ne pouvait s'empêcher de parler tout le temps. Enfin bref, alors le noble répondit au nain qui lui demandait si il voulait les accompagner :

- En effet, je ne doute qu'à plusieurs nous serons bien plus en sécurité que seuls. Je n'ai guère suivit mais vous voulez rejoindre une cité elfe plus à l'intérieur des terres, Raistlin lui fit un mouvement de tête pour lui dire que c'était bien le cas. Alors il regarda la plage qui s'étendait à perte de vue et la forêt qui la bordait, on y voyait pas à cinq mètres tant il y avait d'arbres et autres végétaux divers, c'était l'antithèse complète de la Forêt Royale où bien des nobles partaient chasser. Mais vous désirez passer par où ?

Invité

Zarakaï avait réfléchit longuement à la question qui lui était posé par le destin lui même il finit par répondre :

- Hier vous n'avez pas voulu passer par la forêt pour cause de fatigue. Êtes vous maintenant suffisamment reposé pour partir en direction de la cité elfe ? Personnellement je ne vois plus aucun inconvénient à ce que nous passions par la plage car à vrai dire nous avons aucune quêtes en ce moment, autant que nous arrivions en forme, frais et dispo, sale et mal coiffé ... à peine avait -il finit de prononcé ces mots, il se rendit compte que tous les autres avaient leurs regard braqué sur lui et plein d'indignation qui laissait transparaître un message clair : Tu veut vraiment qu'on nous jette en prison avant d'arriver ? ou encore tu veut vraiment qu'on passe tous pour des paysans ? Il se reprit donc : bon que nous arrivions en ville sans trop nous faire remarquer ... sa fierté de nain allait être briser il devrait se tenir en homme civilisé aux côtés d'elfes ...

Comme il sentait qu'il n'y avait pas beaucoup d'entrain de leur part il essaya de les relancer :

Mais nous devons en décider ensemble car nous formons une équipe maintenant ainsi qu'en pensez vous chers camarades ?